Douchée et recouchée,
Enora retourna sous ses draps.
Et sans se faire prier,
Elle retomba sans tarder sans les bras de Morphée.
Brusquement elle sursauta
Et découvrit Konagan la tenant dans ses bras.
Il la rassura. Elle ne broncha pas.
Lorsque le jour se leva, elle lui emboita le pas.
Après quelques heures passées à marcher,
Une odeur iodée leur chatouilla le nez.
Une autre aventure s’annonçait.
Ils devaient rejoindre les quais.
Ils étaient dans les temps, il y avait du vent…
Cela sentait le départ, « larguez les amarres ».
« Le Papillon volant » était magnifique.
Il semblait avoir quelque chose de magique.
Un seul hic, le capitaine à l’œil sadique.
Il ne fallait pas le contrarier,
Sinon vous débarrassiez le plancher.
Vogue la galère ?
Non, hisse et haut, mon beau bateau.
Vogue au gré des vents et des océans…
LL